Les Quatre Vents de l’esprit - LE LIVRE SATIRIQUE

Je vis les quatre vents passer     Inde Iræ     Lorsque j’étais encore un tout jeune homme pâle      Ô sainte horreur du mal ! Devoir funèbre ! ô haine !     Éclipse     La satire à présent, chant où se mêle un cri     Voix dans le grenier     Le Soutien des empires     Écrit sur la première page d’un livre de Joseph de Maistre     Se laisser calomnier     À un homme fini     À ****     Anima vilis     Littérature     À un écrivain     Le Mont-aux-Pendus     Le Bout de l’oreille     L’Échafaud      Jolies Femmes     Jolies Femmes     Cent mille hommes, criblés d’obus et de mitraille      La hache ? Non. Jamais. Je n’en veux pour personne      C’est à coups de canon qu’on rend le peuple heureux      Elle passa. Je crois qu’elle m’avait souri      Sur un portrait de sainte     Écrit après la visite d’un bagne     Le spectre que parfois je rencontre riait     Les Bonzes     Et les voilà mentant, inventant, misérables     Aux prêtres     Muse, un nommé Ségur, évêque, m’est hostile      Idolâtries et Philosophies     Le vieil esprit de nuit, d’ignorance et de haine     Parfois c’est un devoir de féconder l’horreur     C’est bien ; puisqu’au sénat, puisqu’à la pourriture     Il faut agir, il faut marcher, il faut vouloir      Paris, le grand Paris agonise. Je pense     Soit. C’est dit. Tout n’est plus qu’une cendre qui vole       Je suis haï. Pourquoi ? Parce que je défends      Oui, vous avez raison, je suis un imbécile     Puisque je suis étrange au milieu de la ville      Ainsi nous n’avons plus Strasbourg !     Qui que tu sois qui tiens un peuple dans ta main     Dieu éclaboussé par Zoïle     Ils sont toujours là     Fulgur     Zénith - Nadir