Ose... Iris !

Un homme est frappé par un éclair une nuit d’orage, il s’appelle Cirrus. Il flotte entre deux mondes. Il peut voir ses amis, mais eux ne le voient pas. Il vit en parallèle et assiste à la vie de ses proches dont sa fiancée Iris. Il découvre un plan machiavélique à leur encontre. Hélas il ne peut rien faire pour l’instant. A travers des bains de purification, des lieux de débauche, des fumeries d’herbe non médicinale, il y a le monde des insectes. Des Lépidoptères et puis… le Lioxyde. Qui est il vraiment et d’où vient-il ? Nos personnages avancent et parfois se retrouvent dans une dimension… disons grise. La Russie joue un rôle important on est même propulsé au début du 20 ème siècle pour faire la connaissance « Du petit soviet » un être qui voit des choses dont l’œil humain ne peut voir. Il est une cheville transparente dans l’histoire, il est partout avec cette phrase : « Ou tu es je suis. Ou tu vas j’irai. » Dans la vieille Russie profonde des choses bizarres et inquiétantes se passent. Hugo d’origine Russe fera des rencontres étonnantes sur fond de meurtre de son oncle Fédor. Bien avant la marraine de Cirrus, une dépravée défigure dans une maison de débauche le préféré d’Iris, elle en paiera les conséquences. Une maison dans le quartier de Paris est tenu par monsieur Jean qui n’est autre que de la poudrière mais simplement Chassus un fils du peuple. La poudrière vit actuellement dans une grande demeure appelée « Le château de Rose-grise » Ses serviteurs ont un passé noir et le maître des lieux, est schizophrène. Une invitation entraîne Iris Hugo Gaétan et Aurélien — des anciens d’une même promo ; le lycée Henri IV de paris. Dans cette aventure. Il y a les observateurs du ciel du monde de « Knétyss » Ils sont omniprésents et les êtres sombres sont partout dans l’histoire. Un final époustouflant où le vrai du faux parle du passé, du présent mais pas de l'avenir. « Qui sème récolte mais n’oublie pas, où tu es je suis où tu vas j’irai »